À défaut d'aller au festival de jazz de Montréal, il fallait bien aller à celui de Saint-Louis. Et pourquoi pas en même temps visiter le parc de la Langue de Barbarie!
À la place de rester à Saint-Louis même, nous sommes restés au Zebrabar un campement vraiment relaxant à environ 30 minutes de la ville (jusqu'à 1h selon l'état du taxi). Planche à voile, kayak, plage, bons repas, encore des couchers de soleil, le Zebrabar c'était vraiment des vacances. Avec Annika, on a même développé un nouveau concept : le hot power napping, à venir bientôt.
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Une partie du valeureux groupe de sept-places |
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Vue sur le campement et le tank d'un des clients, nous y reviendrons |
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Maison des proprios |
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Je me tanne jamais des couchers de soleil |
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Vraiment jamais |
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Des plages désertes, ça non plus je m'en lasse jamais, et vous? |
Un petit tour de pirogue pour aller voir les oiseaux du parc.
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À la rencontre des oiseaux |
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Gabrielle nous guide en bonne capitaine... oiseaux à l'horizon! |
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Des (gros) pélicans |
On est aussi allé un peu à Saint-Louis pour le festival. En bons touristes, nous sommes allés directement sur le site de la scène principale (payant), où il n'y avait pratiquement personne et où un groupe jouait de la musique super intime. Le problème c'était que l'endroit était immense et que la musique aurait été appréciable sur dans une petite salle où les spectateurs peuvent pratiquement toucher aux artistes. Le groupe suivant de jazz mauritanien n'échappait pas non plus à ce mauvais combo scène/style. On est donc parti à la découverte des concerts gratuits dans les bars de la ville. Beaucoup plus de succès. Photos limitées, beaucoup de voleurs se donnent rendez-vous pour le festival.
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Un groupe vraiment malade, en plus ils sont de la même famille |
Un peu de Saint-Louis la nuit
Vers 3h du matin lorsque les concerts sont terminés dans les bars et sur la scène principale, les artistes se dirigent vers l'Institut Français de Saint-Louis pour un boeuf qui dure jusqu'à ce qui le sommeil emportent tous les spectateurs. On y a retrouvé le premier groupe de la soirée, qui cette fois était dans la bonne ambiance pour leur style de musique.
Au retour, je suis retourné à Dakar avec un Anglais qui était partie de sa ville du UK avec son camion, il venait juste de finir la traversée de la Mauritanie et se dirigeait vers le Mali. Depuis le Maroc (je crois) il faisait route avec Maria et Paul les propriétaires du tank, deux Sud-Africains partie de l'Allemagne avec leur campeur qui rentraient tranquillement à la maison. Ils avaient d'ailleurs une excellent machine à café, le meilleur café que j'ai bu depuis longtemps!
Le termine par cette photo d'un train, un événement très rare ici au Sénégal. J'étais dans tous mes états.
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